Comme d'habitude, après une bonne charrette, et comme le veut la saison, je tiens une bonne crêve. Malgré ça, et les caprices de Blogger™, je vais tacher de tenir ce blog à jour et de rattraper le retard que j'ai pris, au niveau du fait divers par exemple…
Donc, voilà pour toi, fidèle lecteur, la belle image parue il y a déjà deux semaines (comme le temps passe) dans la rubrique des faits divers de l'hebdo Actuel. En ce temps là, il s'agissait donc des aventures douanières d'un passeur de cocaïne, de la sorte qui avale la marchandise. Mais les gabelous au flair acéré et au regard perçant –aidés d'un scanner– ont heureusement mis la main sur le trafiquant et mis un terme à ses activités nuisibles et attentatoires à la réputation du plus beau pays du monde (dont j'apprends à l'instant qu'il a perdu son rang de premier producteur de hashish mondial au profit de l'Afghanistan).
Précision importante, le gaillard appréhendé, non content d'être un sournois récidiviste, est aussi ce qu'il est convenu d'appeler depuis quelques années dans la presse marocaine, un sub-saharien. Le sub-saharien, fidèle lecteur, est une variété d'humain originaire, comme son nom l'indique, de régions australes situées, par rapport au Maroc, de l'autre côté du Sahara. Le Sahara étant réputé fort aride, il ne saurait-être question de confondre le sub-saharien avec le submarine qui comme chacun le sait est yellow. Alors que le sub-saharien est… hum… enfin, comment dire, le sub-saharien est plutôt… black, voire… noir.
Ou alors il faudrait dire des trucs comme quoi le marocain, cet être si singulier, se considèrerait comme un sur-saharien ? Portnawak !
Et puis on s'éloigne du sujet, parce que l'important, c'est quand même que ce gars là trafiquait de la blanche ! Qui venait d'ailleurs, à l'ouest, pour aller ailleurs, au nord.
Chez ceux qui nous prennent pour des sub-méditerranéens, au pif.
*Ah ben en fait, pas que local on dirait (edit 3 avril)
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