Chaque année, la fédération des parents d'élèves Peep organise le Grand Prix des Jeunes Lecteurs (alias GPJL). Un prix littéraire décerné par un jury composé d'enfants, élèves de CM2 et 6e. Pour être membre du jury, chaque enfant doit faire acte de candidature en remplissant un formulaire, puis il se présentera avec son livre favori pour un oral devant les membres de l'association, qui retiendront, ou non sa candidature.
Les candidats retenus se voient remettre une selection d'une petite dizaine d'ouvrages jeunesses parmi lesquels ils devront selectionner celui digne de recevoir leur prix.
Et donc, pour le chapitre de Casablanca de la Peep, je me suis chargé de produire cette image destinée à la promotion de la manifestation, sur des affiches exemple… ou sur le blog de l'assoç.
Quant à la musique de circonstance, voilà de quoi faire l'affaire…et un, et deux, et trois et surtout ça
samedi 16 janvier 2010
mercredi 13 janvier 2010
Marrakech connection
Quand un français rencontre un autre français, qu'est-ce qu'ils se racontent ? Des histoires de touristes à Marrakech.
Le fait divers de la semaine, publié dans Actuel, l'hebdomadaire marocain bien connu de nos fidèles lecteurs, est un florilège des arnaques, à l'hébergement principalement, ayant pour protagonistes des français résidents à Marrakech, et qui n'hésitent pas à plumer leurs compatriotes attirés par la ville rouge.
Bien entendu, je me refuse à penser qu'il pourrait s'agir là d'un trait dominant de l'identité nationale que je partage avec eux… Quoique, on aurait peut-être des raisons de se méfier, car tout français qu'ils sont, ce sont quand même des immigrés. Tout comme moi d'ailleurs, mais la solidarité a ses limites –et puis, c'est bien connu, c'est à plusieurs qu'ils posent problème.
Et moi, je suis un pauvre garçon vache solitaire, et une longue route jusqu'au foyer.
Évidemment, tout le monde aura remarqué que l'image est inspirée de la célèbre affiche de Fantômas, dont je ne connais pas l'auteur.
Autant que j'évite de faire ce que je reproche aux autres ! D'ailleurs, il faudra que je trouve le moment de revenir sur le sujet, un de ces quat's.
Si quelqu'un connait cet auteur, qu'il me le signale dans les commentaires !
Hop, ben nous v'la beau ! J'ai encore oublié le son ! Tu n'en veux du son ? N'en voilà du son, bien de chez nous !
Le fait divers de la semaine, publié dans Actuel, l'hebdomadaire marocain bien connu de nos fidèles lecteurs, est un florilège des arnaques, à l'hébergement principalement, ayant pour protagonistes des français résidents à Marrakech, et qui n'hésitent pas à plumer leurs compatriotes attirés par la ville rouge.
Bien entendu, je me refuse à penser qu'il pourrait s'agir là d'un trait dominant de l'identité nationale que je partage avec eux… Quoique, on aurait peut-être des raisons de se méfier, car tout français qu'ils sont, ce sont quand même des immigrés. Tout comme moi d'ailleurs, mais la solidarité a ses limites –et puis, c'est bien connu, c'est à plusieurs qu'ils posent problème.
Et moi, je suis un pauvre garçon vache solitaire, et une longue route jusqu'au foyer.

Autant que j'évite de faire ce que je reproche aux autres ! D'ailleurs, il faudra que je trouve le moment de revenir sur le sujet, un de ces quat's.
Si quelqu'un connait cet auteur, qu'il me le signale dans les commentaires !
(Edit lundi 01/02/2010 : et ben voilà, c'est l'excellent et érudit Li-an qui décroche le pompon, et modeste avec ça je suis sûr. Et donc, il s'agissait de Gino Starace, que je ne connaissais pas jusque là, ce qui me désole et me rempli de confusion)
Hop, ben nous v'la beau ! J'ai encore oublié le son ! Tu n'en veux du son ? N'en voilà du son, bien de chez nous !
samedi 9 janvier 2010
Sic transit gloria mundi


Si vous voulez tout savoir, j'avais présenté il y a quelque temps déja le making of de "La maison de Lalla Chama" ici même.

À part évidemment en cas de remise de prix –pour mes fidèles lecteurs qui l'ignoreraient encore, j'ai reçu en 2001 le Prix Grand Atlas pour l'illustration de "Salem et le sorcier"– ce qui évidemment flatte la vanité du récipiendaire !
En attendant, merci à Amira Géhanne Khalfallah, de la rubrique Culture à la Vie éco, de nous avoir offert cette belle visibilité !
vendredi 8 janvier 2010
De saison !
Un petit exercice typographique pour célébrer la nouvelle année, et, en passant, faire la promotion de notre studio de graphisme.
Cela faisait déjà un bon moment que j'avais envie de m'attaquer à une composition mettant en scène le Bifur, dessiné par Cassandre, typographie mythique que j'ai tâché d'aborder avec respect, et en mettant en valeur les qualités "textiles" du caractère. Je dois dire que la composition colorée de Nathalie, l'autre moitié du studio, met spécialement en valeur la composition typographique !
Petit apparté concernant la saison des vœux. Cette année nous sommes particulièrement gâtés par la météo et nous essuyons, depuis deux ou trois semaines, à Casablanca comme dans le reste du Maroc des tempêtes d'un intensité rarement atteinte ! Ce matin ce fut l'apothéose avec une tempête de grêle "horizontale" qui couronnait les immeubles de panaches glacés dus aux turbulences ! Après quoi les rues du quartier étaient nappées d'une couche de glace blanche qui a par endroit tenue deux heures ! On aurait dit de la neige, particulièrement sur les pare-brises des voitures en stationnement. Un spectacle qu'il ne m'avait pas été donné de voir à Casa depuis 15 ans que j'y traine mes crayons !
Cela faisait déjà un bon moment que j'avais envie de m'attaquer à une composition mettant en scène le Bifur, dessiné par Cassandre, typographie mythique que j'ai tâché d'aborder avec respect, et en mettant en valeur les qualités "textiles" du caractère. Je dois dire que la composition colorée de Nathalie, l'autre moitié du studio, met spécialement en valeur la composition typographique !
Petit apparté concernant la saison des vœux. Cette année nous sommes particulièrement gâtés par la météo et nous essuyons, depuis deux ou trois semaines, à Casablanca comme dans le reste du Maroc des tempêtes d'un intensité rarement atteinte ! Ce matin ce fut l'apothéose avec une tempête de grêle "horizontale" qui couronnait les immeubles de panaches glacés dus aux turbulences ! Après quoi les rues du quartier étaient nappées d'une couche de glace blanche qui a par endroit tenue deux heures ! On aurait dit de la neige, particulièrement sur les pare-brises des voitures en stationnement. Un spectacle qu'il ne m'avait pas été donné de voir à Casa depuis 15 ans que j'y traine mes crayons !
dimanche 3 janvier 2010
Bienvenue au club
Un nouvel arrivant au club des illustrateurs-blogueurs locaux (gringos locos ?), Louis Hugues Jacquin, avec qui j'ai eu le plaisir de collaborer plusieurs fois, ici même ou au sein de Bédo, le fameux, et à ce jour inégalé, magazine de Bédé Bidaouie.
Et aussi, comment dire, inspirateur… vouala, on va dire ça.
Et par dessus le marché un pʮʨǃᴞ de dessinateur !
Allez-y voir de ma part : http://jacq-jacquin.blogspot.com/
Et aussi, comment dire, inspirateur… vouala, on va dire ça.
Et par dessus le marché un pʮʨǃᴞ de dessinateur !
Allez-y voir de ma part : http://jacq-jacquin.blogspot.com/
mardi 29 décembre 2009
Goodbye sergeant Pinback
Comme mes fidèles lecteurs n'auront pas manqué de le remarquer, l'actualité du fait divers est restreinte ces derniers temps. Alors, plutôt que de vous entretenir de mes (éprouvantes) activités éditoriales mensuelles et typographiques dans le magazine Famille actuelle, je préfererai causer de cinoche et de l'air du temps.
Dan O'Bannon est mort
Dan O'Bannon nous a donc quitté. La première fois que j'ai entendu parlé du gaillard c'était l'année de mes treize ans, lorsque je suis allé voir mon premier film "interdit au moins de" : Alien, le huitième passager. Choc esthétique durable !
Dan O'Bannon en était le scénariste. Quand, en plus, il s'est avéré avoir participé aux effets spéciaux de "la Guerre des étoiles" il a définitivement gagné une place de choix dans mon cœur !
Des années plus tard, quand j'ai mis la main sur le numero spécial "Alien" de Métal Hurlant, ma joie fut totale !
Je le feuillete encore aujourd'hui, fasciné par le travail de Ron Cobb, de Chris Foss, de Mœbius et évidemment de Giger. Fasciné aussi par la quantité de travail fourni–en particulier par Chris Foss– alors qu'il n'en reste pratiquement rien à l'écran. Néanmoins il semblait à l'époque tout à fait normal de rendre hommage aux collaborateurs, et même les projets écartés étaient montrés.
Pour en revenir à Dan O'Bannon, j'ai mis de nombreuses années à mettre la main, et l'œil sur "Darkstar", premier film de Carpenter, sorte de projet de fin d'études un peu foutraque mais absolument indispensable ! Dan O'Bannon y est scénariste, acteur, responsable des effets spéciaux et monteur ! Le film fourmille de trouvailles, aborde des thèmes de SF récurrents, voyages dans l'espace etc, et on y fait même la rencontre de l'ancêtre d'Alien en personne, sous la forme d'un ballon de plage au QI de cochon d'inde. D'autres séquences vont devenir des archétypes du genre. Par exemple, il me semble que les scènes d'ascenseur incontrôlable de Star Wars épisode III sont au moins une réminiscence si ce n'est un hommage. Autre trouvaille, le confessionnal video où les membres de l'équipage viennent vider leur cœur dans un enregistreur.
Ce confessionnal video, on le retrouve dans le dernier film que j'ai été voir, avec les enfants : Avatar. James Cameron's Avatar, même. Et en troidé.
Inutile de tourner autour du pot, nous avons adoré le film. Spécialement la performance technique/technologique qui confère au truc des qualités "immersives" dont on n'a sans doute pas fini d'entendre parler.
De ce point de vue c'est sans doute un jalon dans l'histoire du cinoche, comme ont pu l'être " 2001 l'odyssée de l'espace", "la Guerre des étoiles", "Alien" ou (le premier) "Matrix".
Bien entendu, l'histoire est un peu gnangnan, et la morale y est habituelle, le gentil blanc bien WASP va sauver les gentils sauvages en leur apprenant à manier leur propre culture (quels cons ! faut tout leur dire).
Les paysages luxuriants de la planète Pandora sont magnifiques, on y évoque un écosystème exotique spécialement perfectionné et harmonieux fourmillant de bidules volants et lumineux et de dragons un peu caractériels bien que multicolores.
Mais, telle la vérité, la gêne est ailleurs.
Le problème c'est que cette planète, on la connait déja, elle a été explorée il y a bien longtemps, au XXe siècle –genre– par l'intrépide Roger Dean, qui nous en a ramené de magnifiques vues, comme celles ci-contre, qui ne sont pas des images de préparation du film…
Pourtant au générique, de Roger, nulle trace.
C'est alors qu'il m'est revenu à l'esprit que c'est ce même Cameron qui avait commis "Aliens", la suite du "Alien" dont je vous entretenais plus haut, fidèles lecteurs. Un film que j'avais trouvé immensément décevant à sa sortie. Exit la magie de l'univers monstrueux de Giger. Le monstre polymorphe, furtif, sexuel avait perdu son aura, sa civilisation, son background, remplacé par une foule de marionnettes agitées façon Gremlins.
L'explication était simple : Cameron n'avait pas appelé Giger, et avait confié à des tacherons des effets spéciaux la mission de faire vivre le truc, sans s'encombrer de l'artiste original. Bis repetita, ce coup-ci c'est Roger Dean qui y passe.
On se demande quand même vraiment pourquoi l'équipe de techniciens, de "CGI artists", d'experts en textures et éclairages etc etc etc, est rémunérée et créditée, et pas le gars qui est visiblement l'auteur du "concept" original. Encore plus énervant, depuis des années Roger Dean essaie de trouver un financement pour monter un film à partir de son univers personnel. Si jamais il y arrive un jour il y a fort à parier que ce sera lui qui passera pour le plagiaire de Cameron. À moins que ce ne soit justement Cameron le producteur (on peut rêver).
Évidemment, nombreux sont ceux qui défendent Cameron, et nombreux aussi sont ceux qui cherchent à démonter ses influences, et pas toujours avec justesse et discernement. La question est de savoir où se situe la frontière entre l'hommage, l'influence, la reminiscence, l'air du temps et le plagiat ou le vol.
Je pense que le coup du confessionnal est à classer dans reminiscence, voire hommage. Pour ce qui est du paysage, là quand même, clairement, c'est du vol !
Quant à Star Wars, dont je suis un grand fan également, le même débat fait rage, pointant les étranges similitudes entre le travail de JC Mézières (et de Christin) et celui de G. Lucas, mais là, d'autres s'en sont déja occupés.
Dernier élément à verser au dossier, "la Guerre des étoiles", "Aliens" et "Avatar" sont tous les trois signés par la "Twentieth Century Fox". Ceci explique peut-être ce comportement d'un autre siècle…
Tiens, pour la Zique, un p'tit coup de Yes, histoire de se calmer !
Dan O'Bannon est mort
Dan O'Bannon nous a donc quitté. La première fois que j'ai entendu parlé du gaillard c'était l'année de mes treize ans, lorsque je suis allé voir mon premier film "interdit au moins de" : Alien, le huitième passager. Choc esthétique durable !
Dan O'Bannon en était le scénariste. Quand, en plus, il s'est avéré avoir participé aux effets spéciaux de "la Guerre des étoiles" il a définitivement gagné une place de choix dans mon cœur !
Des années plus tard, quand j'ai mis la main sur le numero spécial "Alien" de Métal Hurlant, ma joie fut totale !
Je le feuillete encore aujourd'hui, fasciné par le travail de Ron Cobb, de Chris Foss, de Mœbius et évidemment de Giger. Fasciné aussi par la quantité de travail fourni–en particulier par Chris Foss– alors qu'il n'en reste pratiquement rien à l'écran. Néanmoins il semblait à l'époque tout à fait normal de rendre hommage aux collaborateurs, et même les projets écartés étaient montrés.
Pour en revenir à Dan O'Bannon, j'ai mis de nombreuses années à mettre la main, et l'œil sur "Darkstar", premier film de Carpenter, sorte de projet de fin d'études un peu foutraque mais absolument indispensable ! Dan O'Bannon y est scénariste, acteur, responsable des effets spéciaux et monteur ! Le film fourmille de trouvailles, aborde des thèmes de SF récurrents, voyages dans l'espace etc, et on y fait même la rencontre de l'ancêtre d'Alien en personne, sous la forme d'un ballon de plage au QI de cochon d'inde. D'autres séquences vont devenir des archétypes du genre. Par exemple, il me semble que les scènes d'ascenseur incontrôlable de Star Wars épisode III sont au moins une réminiscence si ce n'est un hommage. Autre trouvaille, le confessionnal video où les membres de l'équipage viennent vider leur cœur dans un enregistreur.
Ce confessionnal video, on le retrouve dans le dernier film que j'ai été voir, avec les enfants : Avatar. James Cameron's Avatar, même. Et en troidé.
Inutile de tourner autour du pot, nous avons adoré le film. Spécialement la performance technique/technologique qui confère au truc des qualités "immersives" dont on n'a sans doute pas fini d'entendre parler.
De ce point de vue c'est sans doute un jalon dans l'histoire du cinoche, comme ont pu l'être " 2001 l'odyssée de l'espace", "la Guerre des étoiles", "Alien" ou (le premier) "Matrix".
Bien entendu, l'histoire est un peu gnangnan, et la morale y est habituelle, le gentil blanc bien WASP va sauver les gentils sauvages en leur apprenant à manier leur propre culture (quels cons ! faut tout leur dire).
Les paysages luxuriants de la planète Pandora sont magnifiques, on y évoque un écosystème exotique spécialement perfectionné et harmonieux fourmillant de bidules volants et lumineux et de dragons un peu caractériels bien que multicolores.
Mais, telle la vérité, la gêne est ailleurs.
Le problème c'est que cette planète, on la connait déja, elle a été explorée il y a bien longtemps, au XXe siècle –genre– par l'intrépide Roger Dean, qui nous en a ramené de magnifiques vues, comme celles ci-contre, qui ne sont pas des images de préparation du film…
Pourtant au générique, de Roger, nulle trace.
C'est alors qu'il m'est revenu à l'esprit que c'est ce même Cameron qui avait commis "Aliens", la suite du "Alien" dont je vous entretenais plus haut, fidèles lecteurs. Un film que j'avais trouvé immensément décevant à sa sortie. Exit la magie de l'univers monstrueux de Giger. Le monstre polymorphe, furtif, sexuel avait perdu son aura, sa civilisation, son background, remplacé par une foule de marionnettes agitées façon Gremlins.

On se demande quand même vraiment pourquoi l'équipe de techniciens, de "CGI artists", d'experts en textures et éclairages etc etc etc, est rémunérée et créditée, et pas le gars qui est visiblement l'auteur du "concept" original. Encore plus énervant, depuis des années Roger Dean essaie de trouver un financement pour monter un film à partir de son univers personnel. Si jamais il y arrive un jour il y a fort à parier que ce sera lui qui passera pour le plagiaire de Cameron. À moins que ce ne soit justement Cameron le producteur (on peut rêver).
Évidemment, nombreux sont ceux qui défendent Cameron, et nombreux aussi sont ceux qui cherchent à démonter ses influences, et pas toujours avec justesse et discernement. La question est de savoir où se situe la frontière entre l'hommage, l'influence, la reminiscence, l'air du temps et le plagiat ou le vol.
Je pense que le coup du confessionnal est à classer dans reminiscence, voire hommage. Pour ce qui est du paysage, là quand même, clairement, c'est du vol !
Quant à Star Wars, dont je suis un grand fan également, le même débat fait rage, pointant les étranges similitudes entre le travail de JC Mézières (et de Christin) et celui de G. Lucas, mais là, d'autres s'en sont déja occupés.
Dernier élément à verser au dossier, "la Guerre des étoiles", "Aliens" et "Avatar" sont tous les trois signés par la "Twentieth Century Fox". Ceci explique peut-être ce comportement d'un autre siècle…
Tiens, pour la Zique, un p'tit coup de Yes, histoire de se calmer !
dimanche 6 décembre 2009
Le cheval de Tetouan

Vu que l'article ne relatait en rien les circonstances de l'arrestation, je me suis rabattu sur la description du bonhomme, sa vie, son œuvre, son ascension sociale jusqu'à en tirer cette petite scène d'emballage des doses…
Au niveau du son, je vous recommande ce truc génial que je viens de découvrir. Et sinon, ambiance eighties avec un peu de ceci, de cela, ou même ci ou ça… va savoir pourquoi…
(Enfin, moi, je sais)
jeudi 3 décembre 2009
À l'italienne
En tous les cas, c'est le titre du fait div' de la semaine. Fait div qui nous narre les exactions d'un malandrin, chômeur de son état, et qui de ce fait, avantage non négligeable sur le salarié sédentaire, a l'occasion de visiter plusieurs entreprises par semaines. La flexibilité… Pas de poste à pourvoir ? qu'à cela ne tienne, je reviendrai… la nuit, avec un copain…
Pour le son, je pense qu'un petit tour sur Al Oula, la première chaîne nationale vous fera le plus grand bien…
Pour le son, je pense qu'un petit tour sur Al Oula, la première chaîne nationale vous fera le plus grand bien…
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