Aïd moubarak saïd

En ce jour d'Aïd tout le quartier résonne du bèlement des ovins promis au sacrifice, ainsi que des cris des enfants qui galopent autour…

Un petit fond de tiroir pour fêter ça, aprés le coup de bourre habituel à la veille des fêtes. Une photo prise à la volée depuis la fenêtre du train qui m'emmenait à Rabat au petit matin…

Cette ancienne centrale électrique, à l'entrée de Casablanca m'avait toujours fait penser à une version locale de la Battersea power station, surtout vue du train. Elle est située non loin des "Abattoirs", site récemment reconverti en lieu d'effervescence culturelle Casablancais.

Avec ce ciel et la lumière matinale, l'idée s'est imposée comme une évidence.

Sheep on the wing by Playmobil®.

Et pour les plus jeunes, pour que ça soit bien clair, un peu de son.

Et pendant que vous êtes là, en ce calme jour de repos, profitez en pour jeter un  œil sur l'actualité éditoriale de l'autre moitié du studio Logié, ça vaut le coup d'œil.

Electric ladyland

Pas de faits divers pour cette semaine pour cause de jour férié, j'en profite pour finaliser les trucs en cours depuis longtemps. Alors voilà une nouvelle fée, vous aurez reconnu, bien entendu la fée Électricité et son fidèle électrosaure. Et comme toutes les fées, elle grandit quand on la clique.

En dehors d'être porté sur les filles en forme de fée, je dois dire que ces derniers temps n'ont pas été fort inspirés… un petit coup de fatigue, du genre à écouter un peu de deep, ou peu importe le nom.

Arnaque à Agadir

Alors pour le coup, y-en a des qui cherchent les problèmes. Pour le fait divers de la semaine, une petite escroquerie pépère "à la nigerianne". La même que celle qu'on reçoit par mail : je suis un honnête garçon et j'ai trouvé un trésor. Je vous en donne une part, si vous m'aidez à en rentrer en possession. Et pour cela, j'ai besoin d'argent. Ton argent. Évidemment, il n'y a pas de trésor au bout. Mais ce brave Brahim là va pousser les deux lascars dans leur derniers retranchements, en tombant cinq fois de suite dans le même panneau. À la fin il lui ont monté un bateau tellement gigantesque qu'il prenait l'eau de toutes parts, à grand renfort de sorcier et de potion magique. Jusqu'au jour où…

L'histoire complète est dans actuel, journal en papier du Maroc.

Hop hop ! J'ai oublié le son, alors on avait de l'électro façon trance-metal (avec des vrais morceaux de Lemmy dedans), et sinon je me lasse pas de cette version pour jeune fille romantique de Umbrella, que j'ai longtemps cru être l'original, et la version de l'ignoble Rhiri, un massacre…

Retour à Beni Mellal

Beni Mellal où l'on se savait s'il fallait croire la chaste jeune fille, qui se disait victime d'un gang de femmes, la bande à Fouzia,  entièrement voilées, spécialisé dans l'enlévement—et la flétrissure–de chastes jeunes filles. Enlèvement ayant eu lieu au nez et à la barbe de sa propre sœur, elle même chaste jeune fille, qui en frémit de terreur rétrospective !

Et le chauffeur de taxi… Il en pense quoi, le chauffeur de taxi ?

Le dernier fait divers donc, illustré pour le magazine casablancais bien connu de nos lecteurs : Actuel.

Et pour le son utilisé au cours du processus créatif, ça groove, ça pulse et même ça part sur l'aile…

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Toujours l'école

Une autre parue dans Famille Actuelle, sur toute la largeur d'une double page -vu que je fais la mise en page, pourquoi se géner ?- sur le thème de la dégradation du niveau de l'enseignement de la langue française dans les écoles publiques marocaines. Un problème apparemment autant du à la surpopulation dans les classes, qu'à la mauvaise formation, ou l'absence de motivation des enseignants. Entre autres.
Question ambiance de travail, à part ça, c'était plutôt électro rock, dont la rythmique me fait d'ailleurs vachement penser à ça, if you know what I mean (salut Jipé).

Péderastie à Goulmine

Goulmime, voire Goulmine, voire Goulimine, riante cité du sud où certains pratiquent la chasse à l'adolescent tandis que d'autres pratiquent la chasse aux pédés.
Dans une certaine confusion d'esprit…

Vu que le texte me génait aux entournures (on a ses principes), je me suis débrouillé pour faire une image vraiment, vraiment avant le "crime", et relatant plutôt la partie impliquant le prédateur des dortoirs.

Question son, disons que ça va du bien calme, voire bien bien calme, au mouvement d'humeur…

H-S à Ben Guerir

De Ben Guerir j'avais essentiellment l'image d'une longue et unique rue bordée de multiples restaurants typiquements marocains, où l'on sert tagines et brochettes au voyageur de passage. Lesquels (les tagines, pas LE voyageur) sont confectionnés sur place avec les ingrédients achetés dans les échoppes qui alternent entre les kanouns, barbecues et braseros. Le chaland peut évaluer le degré de cuisson de son tagine en observant l'état de la tomate posée au sommet du chapeau qui recouvre le plat.
Situé sur la route entre Casa et Marrakech, c'était la halte obligatoire des touristes et des camionneurs. C'était, parce que depuis l'ouverture de l'autoroute, il y a fort à parier que le coin va de plus en plus ressembler à la route 66. Non loin de là se trouve également une grande base militaire, où l'on raconte que se trouverait une longue piste d'atterrissage aménagée pour pouvoir servir de repli à la navette spatiale en cas de pépin. Vu que les vols de la navette vont bientôt s'arrêter, il y a peu de chance pour qu'on y voit prochainement Sergueï Krikaliev y déguster des brochettes.
Mais les lecteurs d'Actuel, le fameux journal marocain 100% papier, sauront maintenant qu'on y trouve aussi quelques sales gosses de riches qui occupent leurs loisirs à tourner des vidéos pour alimenter leurs comptes en ligne. De mon temps, on appellait ça des snuffs movies, maintenant il paraît qu'on dit happy slapping… on n'arrête pas le progrés.
Quand au son, pour de vrai, j'écoutais la 7e de Beethoven, mais ça fait un peu Orange Mécanique, alors je vous recommande plutôt de la musique suisse qui tourne pas mal aussi, avec du polonais aussi.

Un (petit) taxi pour Casablanca

Un peu en retard dans la mise en ligne ces derniers temps, j'avais des engagements ailleurs.

Donc toujours pour Actuel, journal marocain exclusivement en papier, un petit fait divers aux couleurs des transports en semi-commun de notre belle ville.
Pendant ramadan, celui là profitait des rues, désertées au moment du ftour, pour dépouiller ses innocentes victimes. Question d'appétit sans doute.

Pas de son pour cette semaine, du moins pour ce soir… trop fatigué.