La France des lumières

… pas le courage de trouver une légende… je lance donc un grand débat. Faites vos suggestions dans les comm's.

Révolution sur Syrte

Quand j'étais petit, je lisais Pilote, par dessus l'épaule de mon père. À l'époque les dessinateurs qui m'impressionnaient le plus étaient Bilal dans sa période petites hachures à l'encre, assez Mœbiusoïde, Caza, Solé, Loro (S.o.s. Sweet Délice, 90 60 90 rien de ce qui est humain ne nous est étranger ! Quel émoi !), Druillet (Urm le fou, auquel je ne comprenais rien mais dans la contemplation duquel je m'abîmais pendant des heures)… Mais par dessus tout j'adorais les aventures de Valérian et Laureline, dont nous suivions avec impatience les aventures sur Point central, dans L'ambassadeur des ombres.
À mon avis, Mézières au  sommet de son art, avec Sur les terres truquées.
Et puis un jour Tiiiin ! Tatin ! Tatatatatiiin tin et cæterin j'ai vu La Guerre des étoiles ! Ouaip ! Au cinoche ! En première semaine ! La même chose, mais qui bouge !
Depuis cette époque Mézières et Lucas ont été mes deux influences majeures.

En grandissant, néanmoins j'ai été un peu… peiné de voir que Georges Lucas, au fil des années ne reconnaissait pas les emprunts manifestes, ou du moins l'influence de l'univers de Christin et Mézières sur le sien. Un univers pas si lointain, et pas si éloigné dans le temps, ai-je découvert plus tard, à la lecture de L'Empire des mille planètes.



Et donc, voilà pourquoi j'ai réalisé, pour le blog Covered, cette reprise de la couv' de l'Empire des mille planètes, dont il me semble, à moi et à quelques autres qu'il a été une source non négligeable d'inspiration pour Georges…

Tiens, j'ai oublié de mettre un Shingouz Watto


Et pourquoi ce titre ? Parce que l'Empire des mille planètes, c'est l'histoire d'une révolution, sur Syrte.

De l'actu en quelque sorte…

Faut dire que si Georges Lucas s'est inspiré de Mézières, il y en a d'autres qui plagient Christin… Saura tu les retrouver ? Clique sur l'image ci-dessous pour l'agrandir !





Et pour finir, une carte sur laquelle figure Syrte ET Tatooine. Des systèmes voisins donc, pratiquement…



Agrandir le plan

Precision bass

Vu qu'apparemment ça n'amuse que moi et que ça fait longtemps que ça traine sur mon disque, je vous en fait profiter.

Sinon, j'aime bien la Precision®, mais j'ai rien contre la Jazz Bass®, ou alors une Rickenbaker™, n'importe laquelle. Enfin, moi je dis ça, c'est si jamais quelqu'un a pas d'idée pour un cadeau…

Comme un éclair de feu

Fidèle lectrice rassures toi, le héros de la semaine ne sèmera plus la terreur dans toute la région. De toutes façon, c'était pas un bon héros puisque notre hebdomadaire favori nous apprend que celui-ci ne volait que pour assouvir ses goûts de luxe… quelle honte ! Ce misérable, et ses complices tout de noir vêtus auraient pu faire l'effort d'être miséreux !
Quoi fidèle lecteur ? Mais si je pense à toi aussi !

Alors; heureux ? Ou gai ? Allez hop, cours vite acheter le numéro 107.

S.A.V.

Hello fidèle lectrice, salut à toi fidèle lecteur, c'est donc la rentrée. Et donc, je dois prochainement reprendre les cours de dessin que je dispense dans le cadre enchanteur du Studio des Arts Vivants.
Et si tu veux en savoir plus, et pourquoi pas t'inscrire, je t'invite à me retruver, moi ou un autre enseignant d'art pla' pendant les journées portes ouvertes où je serai ce WE.
À toodsweet !

Ça ne se voit pas bien sur le site, mais c'est un cours ados/adulte…

La pub, c'est de l'âme…

…et c'est la matière dont sont faits les fantômes, n'est-ce pas ?
Alors, vers l'infini et l'au-delà !

Le pays froid où le soleil est chau

Et un dernier pour la route !

Le bouquet final

Taches ménagères (un sale boulot mais 'faut bien que quelqu'un le fasse).

Fidèle lectrice, fidèle lecteur, je ne sais pas pour toi mais par ici flotte un certain parfum de rentrée… Le Ramadan touche à sa fin et notre hebdomadaire favori—dans son numero 106— reprend ses activités, relatant, tel un inlassable Sysiphe (un gars du coin je crois) les méfaits de nos congénères.

Enfin, pour notre héroïne du jour, pas de rentrée des classes, puisque à l'age de 11 ans elle en est à son troisième employeur, comme "petite bonne", une spécialité marocaine dont il n'y a pas lieu de se vanter ; un fléau dont après après année les autorités nous promettent l'éradication avec un insuccès sans cesse renouvelé…
Pour celle-ci néanmoins le calvaire est terminée, ayant tâché un T-shirt à 750 DH, sa maîtresse lui a administré une sanction claire : la peine de mort.

C'est ce qui s'appelle une rentrée, n'est ce pas ?

Leyla ramadhan

Ma participation au blog Jazz and draw, chez qui je me trouve en agréable compagnie.
Morceau de référence, a night in the mountains, de Rabih Abou Khalil.
Ramadan moubarak saïd !